Sel du Tournugeois: SORTIE DE NOLAY du 22 JUIN - envoi 4 (Non publié)

Proposé

Soumis par Membre 6 le ven, 06/14/2019 - 19:27
 

 

bonjour

La date approche , il y a une douzaine de réponses (voir ci-dessous) merci de compléter si vous souhaitez en faire partie , surtout pour la réservation du repas
Départ de tournus 8h45 (il faut 1h environ )   rendez vous quai nord (en face de chez moi 20 quai nord) facile de se garer.
Covoiturage
Visite de l'exploitation des semenciers de 10h à 12h
Repas 26 euro (voir détail ici: https://chaume-des-buis.jimdo.com/a-table/ )

   
Le reste: visite de l’après-midi, sera communiqué au prochain mail, j'attends une réponse (demain, lundi ???). Soit visite d'un espace naturel avec le conservatoire bourguignon, soit visite Nolay avec ot
    je remet tout en bas le détail de la visite et restau

   
Votes du sondage SORTIE DE NOLAY du 22 JUIN
nom repas matin après-midi
daniel     Oui     Oui     Oui    
claude sassot     Oui     Oui     Oui    
michele sassot     Oui     Oui     Oui    
patricia     Non     Non     Non    
Michèle Guerbaa     Non     Non     Non    
Caroline Schurger     Oui     Oui     Oui    
lorenzo     Oui     Oui     Oui    
martine 95     Oui     Oui     Oui    
alain Berniquet x 2     Oui     Oui     Oui    
Marie tavel x 2     Oui     Oui     Oui    
myriam     non     Oui     Oui    
marie-jeanne     ?Je ne sais pas     ?Je ne sais pas     ?Je ne sais pas    
felicia attardo     Oui     Oui     ?Je ne sais pas    
odile 1 ou 2 oui oui ?       
     
Somme 13 votants     12     13     11    


 

visite de Nolay le 22 juin 2019 :

 


Le mieux c'est de cliquer sur ce lien et de mettre votre nom et le nombre de personnes : https://framadate.org/XxKjrCMq8rPt1qIO0

 

-           matinée avec un semencier à l’ancienne, voir comment il fonctionne, pourra recevoir un petit groupe (Daniel V s’en occupe) ;

-          repas à la ferme auberge de La Chaume des buis, au-dessus de Nolay (pour tous celles et ceux qui voudront, à régler sur place) ;

-          après-midi, visite de Nolay avec éventuellement un technicien du CEN.

-           

L’organisation des transports en fonction du nombre.

 

 

Ferme auberge de la chaume des buis au dessus de Nolay
Outre un bon repas avec les produits de la ferme , les exploitants et leur père sont des semenciers bio depuis des années et travaillent avec plusieurs associations de par le monde 
ce pourrait etre une visite intéressante pour un groupe de 10 pers ou plus
vue imprenable depuis les chaumes ( dixit Maryse)

tel 03 80 20 94 71 pour l'auberge 


visite qui peut être couplée avec celle d'un technicien en gestion des espaces naturels (conservatoire d'espaces naturels de Bourgogne) et c'est gratuit!!! (dixit Maryse)
03 80 79 25 99 ou 06 85 94 80 68 pour Rémi VILLEMIN [email protected]

 

remi me renvoie vers l’accueil du cen

 

Dans ce petit coin de paradis, perché au-dessus du vignoble des Hautes-Côtes de Beaune, Karine et Olivier accueillent les amoureux de saveurs authentiques et inoubliables. Un havre de paix de 11 hectares, connu des moines clunisiens depuis des siècles pour être un terroir exceptionnel. Ici, ils cultivent leurs légumes bios et élèvent des cochons en plein air. A la Ferme-Auberge de la Chaume des Buis, on prend le temps de faire bien et bon.

Installez-vous, savourez les plats de Karine et Olivier, dégustez leurs charcuteries. Et contemplez le paysage…

Vous pouvez aussi les partager chez vous : la boutique propose de nombreux produits au détail, légumes, charcuteries ou viande de cochon.

Ouverture :

Tous les week-end et jours fériés, midi et soir, du 3e week-end de mars au 3e week-end de novembre.
Tous les jours, midi et soir, sur réservation à partir de 8 couverts.

Ferme de Dragny
21340 Nolay

Tél. 03 80 20 94 71

E-mail : [email protected]

 

 

 

Un lieu magique

C’est un petit coin de paradis. Un havre monastique dominant le vignoble des Hautes-Côtes de Beaune. La Ferme-Auberge de la Chaume des Buis et ses 11 hectares est un lieu hors du temps, préservé.
Ce site naturel est un bonheur pour les yeux. Il offre un panorama exceptionnel sur les bocages et les vignobles. Par beau temps, on aperçoit distinctement le Mont-Blanc se détacher à l’horizon. Les Moines de Cluny ne s’y sont pas trompés. C’est eux qui ont créé cette exploitation et l’on peut encore emprunter le sentier par lequel ils se rendaient dans la chapelle (Saint-Philippe). Un lieu magique où l’on a également retrouvé des vestiges celtiques.

 

Joyau du patrimoine gastronomique bourguignon

C’est ici que Dominique Corcelle a créé en 1994 une ferme-auberge. Il y a exercé ses talents de cuisinier, de charcutier, transformant de ses propres mains les cochons élevés en plein air sur la ferme. Ses terrines, rosette, jambon persillé, etc. sont resté dans les mémoires locales. Un véritable joyau du patrimoine gastronomique bourguignon : la ferme auberge de la Chaume des Buis a été recommandé par le Guide du Routard et le Guide Michelin. Après avoir connu des problèmes de santé, Dominique Corcelle a décidé de passer la main en 2017. Un changement de génération mais surtout une véritable transmission de savoir-faire. Karine Loubet et Olivier Chevailler reprennent le flambeau. Elle est maraichère bio expérimentée. Lui a officié  comme cuisinier pendant 16 ans dans le restaurant gastronomique Le Montrachet (Puligny-Montrachet). Un nouveau souffle pour la Ferme-Auberge de la Chaume des Buis !

site web : https://chaume-des-buis.jimdo.com/

 

LE SEMENTIER

https://france3-regions.francetvinfo.fr/bourgogne-franche-comte/agriculture-maraicher-cote-produit-ses-semences-lui-meme-1640656.html

Selon Maryse :
Yannick Loubet (père de notre aubergiste) nous fera une petite visite de ces champs, en fonctions de ce qu’il y a en ce moment ( fleurs légumes) et nous montrera son matériel pour trier secher, ensacher etc les graines.
Il est passionnant, passionné, a travaillé dans plusieurs pays afrique et ailleurs.
Une discussion avec lui doit nous apporter beaucoup

Yanick Loubet, maraîcher à la retraite, produit lui même ses semences, à Nolay en Côte-d'Or. Cest pour lui un moyen de lutter contre l'uniformisation imposée par les grands semenciers et de retrouver ainsi un savoir-faire millénaire.

Par Fatima Larbi Publié le 18/03/2019 à 17:56 Mis à jour le 25/03/2019 à 17:00

Yanick Loubet est maraîcher. Aujourd’hui à la retraite, il  se consacre depuis de nombreuses années à la production de semences paysannes bio. Il est d’ailleurs devenu formateur dans ce domaine.
Il mène ce combat depuis presque 40 ans pour préserver la biodiversité et le libre arbitre des agriculteurs et des consommateurs.

tournus - agriculture Production de semences bio : un créneau à prendre

Une conférence sur les semences paysannes au lycée horticole de Tournus a mis le doigt sur le manque de semences bio en France. En matière de semences maraîchères bio, la Saône-et-Loire est très discrète.

Les intervenants de la conférence du Groupement des agriculteurs bio de Saône-et-Loire sur les semences paysannes : Bernard Ronot, Fiona Marty, Philippe Roux et Yanick Loubet, producteur de semences maraîchères. Photo Thierry DROMARD

La Saône-et-Loire a longtemps été timorée en matière de production biologique. Elle a rattrapé un peu de son retard. Depuis la conférence organisée samedi à Tournus par le Groupement des agriculteurs biologiques de Saône-et-Loire et le lycée horticole de Tournus, on sait aussi que le département déserte le terrain de la production de semences maraîchères bio. Et même de semences bio tout court, mais c’est une carence plus nationale que locale. Toujours est-il qu’il y a un créneau à prendre.

« Mélanges des souches »

Aussi précises qu’aient été les explications de Philippe Roux du Groupement national interprofessionnel des semences et plants, et de Fiona Marty, de la Fédération nationale de l’agriculture biologique, n’en reste pas moins que le nouveau règlement bio n’est pas encore fixé. Il verra le jour début 2021. Quelle place réservera-t-il aux semences paysannes par rapport à celles de l’industrie semencière ? Les semences bio devront-elles passer à la moulinette du processus d’hypersélection des variétés pour être commercialisables ?

Yanick Loubet, producteur de semences maraîchères à Nolay (21), craint cette perspective : « La pureté variétale représentante un danger de “consanguinité”. Nous, les paysans semenciers bio, nous faisons le contraire, nous pratiquons des mélanges de souches. » Un groupe de 25 maraîchers semenciers bio s’est créé en Bourgogne. « On produit et on s’échange nos semences. Pour multiplier une variété, on se met par deux : un en plaine, l’autre en altitude. Chacun produit de son côté puis on mélange nos plants pour garder la vivacité et la résistance de nos semences. »

Un enjeu fort tient dans le destin qui sera réservé à ce que le monde de la sélection appelle le « matériel hétérogène », c’est-à-dire qui relève plus de la semence paysanne que de la variété aux caractères fixes et bien définis. Toujours est-il que dans l’esprit, dit Fiona Marty, le nouveau règlement bio doit « développer la filière de production de semences adaptées au bio, développer la commercialisation de populations paysannes par les agriculteurs bio ».

Pour multiplier une  variété, on se met par deux : un en plaine, l’autre en altitude. Chacun produit de son côté puis on mélange nos plants pour garder la vivacité et la résistance de nos semences.

Yanick Loubet, producteur de  semences maraîchères

Thierry DROMARD

 

 

 

 

__._,_.___
 

Envoyé par : villerot <[email protected]>
 
Répondre en mode Web Répondre à expéditeur Répondre à groupe Nouvelle discussion Toute la discussion (1)
 
 
 
 
 
.

__,_._,___

Expire le: 06/13/2020 - 23:00